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 (M/LIBRE) ACKLES.

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Olivia Calloway
Olivia Calloway
⚡ i'm your national anthem

# Date de naissance : 31/07/1987
# Âge : 36
# Profession/Études : Présentatrice de la matinale sur la première radio locale.
# Quartier : Fort Adams.
# Humeur : Souriante.
# Messages : 2702

SURVOLE PETIT COQUIN

Get ready to be bound honey
Situation amoureuse: Joker.
Disponibilité: Ouvert pour un sujet!
finally, your blackbook:

(M/LIBRE) ACKLES. Vide
MessageSujet: (M/LIBRE) ACKLES. (M/LIBRE) ACKLES. I_icon_minitimeDim 17 Mar - 18:42


Ezeckiel Beckenridge
FEATURING JENSEN ACKLES

quelques informations
SURVOLE PETIT COQUIN
nom❞ Blabla. N'hésitez pas à laisser une petite anecdotes là-dessus.prénoms❞ Blabla. N'hésitez pas à laisser une petite anecdotes là-dessus. âge, date et lieu de naissance❞ Blabla. N'hésitez pas à laisser une petite anecdotes là-dessus. métier❞ Blabla. N'hésitez pas à laisser une petite anecdotes là-dessus. situation familiale❞ Blabla. N'hésitez pas à laisser une petite anecdotes là-dessus. caractère❞ Blabla. N'hésitez pas à laisser une petite anecdotes là-dessus. quartier❞ Blabla. N'hésitez pas à laisser une petite anecdotes là-dessus. featuring❞ La célébrité choisie

parlons un peu d'histoire
LES VOYAGES FORMENT LA JEUNESSE
more about the story❞ Parler ici du personnage, de son histoire. Développez. N'hésitez surtout pas! Parler ici du personnage, de son histoire. Développez. N'hésitez surtout pas! Parler ici du personnage, de son histoire. Développez. N'hésitez surtout pas! Parler ici du personnage, de son histoire. Développez. N'hésitez surtout pas! Parler ici du personnage, de son histoire. Développez. N'hésitez surtout pas! Parler ici du personnage, de son histoire. Développez. N'hésitez surtout pas! Parler ici du personnage, de son histoire. Développez.

ce qui se trame avec..
DORA BLACKWOOD
Dora.. Doucement, tu resserres les pans de ton gilet en laine contre toi avant de te tourner vers la source de cette voix que tu connais si bien, doux alto rassurant. Tu croises ses yeux verts et, là, sous le ciel étoilé, tu comprends qu'il sait. Qu'il sait comment tu te sens, tout ce que tu as pu ressentir ces dernières semaines. Il sait que tu as supplié, dans l'intimité de tes pensées, un Dieu auquel tu ne croyais pas pour que le supplice s'arrête. Il n'a jamais rien dit, il attendait que tu lui en parles. Mais tu ne l'as pas fais. Tu ne le fais jamais, de toute façon. Il te connait si bien, c'en est presque étonnant qu'il attende encore après toi pour cracher le morceau. T'as pleuré. Ce n'était pas une question, mais bel et bien une affirmation. Tu ne sais pas si c'est parce qu'il te connait bien ou parce que tes yeux brillent étrangement. Il baisse la tête et tu sais bien qu'il culpabilise, se pensant idiot d'espérer encore que tu viennes de ton plein gré te confier. Idiot de croire que vous étiez passés au delà des barrières que votre passé vous imposait. Idiot, oui, il était, mais c'est ton idiot, non? Tu veux en parler? Tu ne réagis pas, ne dis rien. Tu sais très bien qu'il connait d'avance la réponse. Il soupire, relève la tête. Vos regards se croisent et c'est à ton tour de le baisser, les larmes recommençant à monter. Impuissants. Voilà ce que vous étiez. Tu avais la vague impression que ton univers s'effondrait ces derniers temps, mais tu te rappelais que ton univers, c'est lui. Lui et uniquement lui. Ses joies, ses peines, étaient tiennes. Ses pensées, tu arrivais à les décrypter sans aucun problème, d'un simple coup d'oeil. Peut-être que la réciproque était vraie? Une fine lueur d'espoir tord ton cœur, te fait mal. On rentre à la maison. Il n'en dit pas plus. Que pouvait-il bien ajouter, au final? Ton silence est inhabituel et tu sais très bien qu'il perturbe Ezeckiel. Tu ne comprenais pas ce qu'il voulait dire par maison. Cela n'avait pas d'importance. Ta maison, c'était lui. Tu irais là où il le voudrait, quand il le voudrait. Il parlait sans doute de la maison que vous partagiez à (Nomdelaville) mais tu ne voulais pas y retourner. Tu le suivrais n'importe où mais tu ne voulais pas rentrer. Le vent souffle avec violence, glacé, il t'immobilise et Zeck est obligé d'attraper ta main, d'entremêler ses doigts avec les tiens pour te tirer de ta léthargie. Lorsqu'il t'ouvre la portière côté passager de sa voiture que tu te rends compte qu'il a bel et bien la ferme intention de te ramener dans votre ville natale. Un rapide coup d'oeil à l'arrière te permet d'observer que votre meilleur ami et son fils - votre filleul - sont déjà assis, endormis l'un contre l'autre. Tu les envies. Voilà bien longtemps que tu n'as pas fais une nuit correcte, cela influence beaucoup tes humeurs déjà bancales auparavant. Rapidement, il s'installe à son tour et démarre la voiture. Vous êtes bien loin d'arriver à destination et tu sens le malaise peser. L'air est lourd, tu n'as qu'une envie, t'échapper d'ici. Tu fixes la route, inlassablement alors que, parfois, tu sens le regard de Zeck peser sur toi, avant qu'il ne se concentre à nouveau sur la route. Non, tu ne voulais pas partager. Tu ne voulais pas partager cette peine, peine qu'il connaissait bien aussi, pourtant. Ce qui était censé être un week-end sympathique s'était transformé en cauchemar. Ce n'était un secret pour personne, chaque personne avec des yeux pouvait bien voir que tout ne tournait pas rond chez toi. Alors Caleb avait émit l'idée que vous pouviez passer un week-end, tous les quatre, à (Nomdelaville). De l'autre côté du pays, loin de tes problèmes, près de ta famille. Et tu t'étais retrouvée orpheline, cela t'était tombée dessus comme un boulet de canon. Tu avais déjà perdu ta mère il y a trois ans. C'était une plaie qui ne partirait jamais. Elle ne se refermait pas, ne cicatrisait pas. Une plaie ouverte dans laquelle chaque reportage sur la célèbre actrice de renom, Oscarisée, qu'était ta mère ne faisait que remuer le couteau à l'intérieur. Ton père, cet avocat international, s'était réfugié auprès des siens, dans sa ville natale, te laissant seule à (Nomdelaville). Et il y a eu Zeck. Encore. Le grand retour. Il est revenu comme un orage en plein été, sans que personne ne s'y attendait, pas même Caleb. Presque dix ans d'absence. Ton premier grand amour,disparu du jour au lendemain sans laisser de numéro de téléphone, d'adresse. C'était gênant au début, de plus, tu étais dans une drôle de période. Ta mère venait de décéder, les journalistes auraient donné n'importe quoi pour recueillir tes ressentis, ton père t'abandonnait comme il l'avait toujours fait.. Tes rapports avec ta meilleure amie et colocataire, à l'époque, se dégradaient. Et maintenant.. Tu perdais ton père, qui couvrait un cancer sans ne t'en avoir jamais fait part. Vous étiez venus au mauvais week-end, entre autres. C'était une claque dans la gueule, une étagère pleine de livres lourds qui te tombaient dessus. Tu étais sonnée, assommée même. Tu ne réagissais plus trop au monde qui t'entourait. Tu n'étais pas seule, tu le savais. Tu avais Caleb, Drea.. Zeck aussi. Ton colocataire et ami. Enfin, tu penses. Tu n'arrives pas à mettre de mots sur votre relation actuelle. Il t'avait accueillit volontiers chez lui lorsque tu avais émis ton désir de laisser Caleb et son fils tranquilles, de déménager. Et tu l'aimais. Tous les sentiments que tu avais ressentis dans le passé, combinés à la compagnie très agréable du jeune homme adorable qu'il était, tout cela était une nouvelle baffe, un coup de poing dans l'estomac. D'une violence extrême. Zeck? Vous veniez d'arriver et il partait déjà vers sa chambre, pressé de se reposer après une longue route avec très peu d'arrêts. Il n'avait pas voulu te céder le volant, cet abruti. Peut-être avait-il bien fait. Il se tourne vers toi et tu sens que tes genoux ne vont pas tenir longtemps, tu te sens un peu coupable aussi. Tu refuses son aide. Tu as toujours été comme cela. Tout au long de votre vie - ou du moins, de tout ce que vous avez passé ensemble - ça s'était passé ainsi. Zeck qui était toujours là pour toi, prêt à t'aider n'importe où, n'importe quand et toi qui le repousses. Mais tu n'as jamais tenu bien longtemps face à lui, tu craquais au bout de quelques regards et deux ou trois phrases bien placées. Il te faisait te sentir tellement faible.. Et tu détestais cela autant que c'était comme une drogue pour toi. C'est ça, l'amour, non? Tu t'éclaircis la gorge, essaies tant bien que mal de ne pas flancher. Merci. Pour tout. Ta voix se brise à la fin. Ta fierté est blessée, mais pour lui, tu serais capable de la dissimuler dans un placard. Et là, il sourit et c'est tout ton monde qui s'illumine, en dépit de l'obscurité persistante. Il descend les quelques marches qu'il avait déjà gravit, fait un pas, puis deux, vers toi. Sans aucun hésitation, il passe ses bras autour de toi et te serre contre lui. Tu te sens un peu mieux, moins seule. Sa chaleur t'avait manquée, ses bras autour de toi aussi. Son odeur emplit tes narines. Réconfort. Il dépose un baiser dans tes cheveux, rétablit une distance entre vous - là, c'est tout ton cœur qui crie sous la douleur - et t'observes, bien droit dans les yeux. Tu sais que quoique tu dises, il pense du plus profond de son être. De rien. Et tu le laisses partir. Tu voudrais le retenir mais tu ne peux pas. Pas maintenant.



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