passeport please!

ϟ Andrea L. Vixenti ϟ Appelé Drea - Donn' -exclusif a Laety- diminutif de Donnaiolo qui veut dire tombeur en Italien. Chouchou ou Dre-Dre par une Dora bourrée, aussi. ϟ 26 ans (ou va les avoir rapidement) ϟ Date exacte libre, en Italie. ϟ Mannequin. ϟ Hey Dude. L'histoire est quelque peu libre cependant ces quelques points sont a retenir : - Ces parents, italiens de pure souche, sont stricts avec lui et il ne les supporte pas. Il a d'ailleurs coupé les ponts avec eux depuis quelques temps. - Il est volage comme jamais, il vient seulement de se rendre compte que son cœur est prit pour la première fois. - Il a un bac S - Il est très riche depuis a mort de son grand père qui date de 1 an.

✔ Dragueur ✘ Macho ✔ Têtu ✘ Déluré ✔ Souriant ✘ Aime faire le fou ✔ Fêtard ✘ Caractérielle

that's you and me

pseudo ❖ lien

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« Lou’ arrête de déprimer s’il te plait… On ne peut pas retourner en arrière… Et mange s’il te plait ! » Dit-il d’une voix menaçante. Relevant la tête pour croiser son regard d’un bleu foncé, je me levais de table, faible. « Non ! Ton voyage est super Jin’, mais je ne peux pas… Je ne PEUX PAS ! » Dis-je en partant du restaurant en courant, telle une idiote. Je m’arrêtais dans une ruelle m’appuyant contre le mur soufflant légèrement. Au bout de quelques minutes, je relevais la tête pour croiser un regard au loin. Cet homme, aux allures de mannequin. Fronçant les sourcils, je détournais le regard. Mes parents étaient morts… Morts… sans moi… J’aurais dû être avec eux dans cette voiture… J’aurais dû mourir à leurs places… Tremblant fortement j’entendis des pas. Croisant les bras, j’ignorais qui était devant moi. « Une jolie fille comme vous, ne devriez pas être si malheureuse. » Je ne comprenais rien. De l’italien. Fronçant les sourcils, je vis cet homme, celui de tout à l’heure. « Pardon ? » Dis-je d’un anglais plus que parfait pour qu’il comprenne. « Oh, une anglaise… Je disais donc, une si jolie fille ne devrait pas être malheureuse… » Je soufflais doucement en levant les yeux au ciel. « Je fais ce que je veux… » Dis-je en le foudroyant du regard. Un léger rire sorti de sa bouche. Bizarrement, cela m’apaisait plus que je ne l’aurais cru. Je le détaillais quelques secondes sans trop comprendre. « X Andréa X Et toi ? » « Laety Opale Shackerwoods » « Jolie prénom… » « Merci toi aussi… Andréa… J’adore… » Dis-je doucement. Je vis mon frère au loin. Son regard ce portant sur cet italien, ce brun aux yeux bleus. « Je file, mais… » Je sortis de ma poche une carte professionnel. « Appel moi ! » Dis-je d’une voix basse en partant vers mon frère.

« Mio Donnaiolo Attends pourquoi on court là ? » Dis-je d’un italien complètement puéril. Main dans les mains, on courrait à travers les rues de Venise. Il me tirait d’une force sans faille quand je vis la gondole et l’eau près de nous. « Saute ! » Me dit-il en m’entrainant avec lui. Sautant j’atterrissais en même temps que lui dans la gondole qu’il se mit à faire avancer dans les ruelles bondaient d’eau. C’était si romantique… Et pourtant nous ne sortions pas ensemble. Je le connaissais depuis six jours… Six jours que j’étais en Italie, et nous étions super proche. On s’entend merveilleusement bien et c’était la première fois que j’étais si proche d’un homme hormis mon grand frère. « Mes parents, je dois rentrer à l’heure sinon… Ils vont encore m’emmerder ! » Dit-il d’une voix rauque. J’oubliais parfois qu’il n’avait que dix sept ans… et moi dix neuf… Nous n’avions pas forcément la même liberté. Arrivant chez lui, j’eus droit à une scène… énorme. Entre ses parents et lui. D’un italien bien trop prononcé je ne comprenais rien. Me sentant mal à l’aise je filais de la maison rattrapait par Andréa. « Je suis désolé… Je sais que tu rentres ce soir… On s’appellera ? » Dit-il en m’embrassant sur la joue. Les larmes aux yeux, je rentrais à l’hôtel. Il fallait que je rentre sur Southampton…

Trois ans plus tard.

Trois ans étaient passés depuis ma rencontre avec Andréa… Trois petites années donc une avec moi. Je me rappelais encore notre conversation au téléphone. « Donnaiolo, ramène ton putain de joli cul sur South quitte tes parents… Ils n’en valent vraiment pas la peine… » Dis-je doucement. « Tu sais quoi ma belle ? Je viens… tu m’héberge le temps que je trouve un appart ? » « Quelle question ! Ramène ton cul ta une journée ! » Dis-je en raccrochant. Voilà, comment il était venu sur l’île… Me rejoignant, claquant sa vie pour rejoindre sa meilleure amie sur l’ile. Il avait passé quatre mois chez moi, jusqu’à ce qu’il se trouve un appartement non loin de chez moi tout de même… Nous étions extrêmement proche, des meilleurs amis pour la vie. J’étais retourné en Italie, lui était même venu chez moi quelques jours histoire de se voir autrement que par téléphone ou MSN par la webcam… Trois ans… Trois ans avec lui ! Pur bonheur ! Et aujourd’hui… Je venais de trouver l’amour de ma vie, j’en restais persuadé, oui… Très persuadé ! Il fallait que je le lui dise… Non seulement je l’avais trouvé… Mais en plus… Nous avions couchés ensemble. Glissant la clé dans la pote de son appartement, je me fichais de l’heure qu’il pouvait être. Regardant le téléphone, il était trois heures du mat… Tant pis. Fermant derrière moi, je posais mes affaires dans l’appart et fila rapidement dans sa chambre enlevant ms chaussure et mon jean. Je me faufilais dans le lit avec lui, le prenant dans mes bras. « Qui peut bien se glisser dans mon lit de la sorte ? » Dit-il d’un anglais bizarre. « Tais-toi… Je suis amoureuse… putain si tu savais ! J’ai enfin… couché avec… je… Merde Andréa, je souffre d’amour ! » Me prenant dans ses bras il enfouissait sa tête dans mon cou. « La femme de ma vie a trouvé l’homme de sa vie ? Alors je suis heureux ! Et s’il te fait souffrir… Je le bute ! » Dit-il en rigolant. Trois ans de pure bonheur avec lui… trois ans a faire des shooting car je l’avais initier au mannequinat.. Trois ans… avec mon Andréa.

your sex on fire

dora c. blackwood ❖ complicated

Dora et Drea, une longue histoire assez étrange. Ça date de très longtemps, enfin, un certain temps, mais cela leur a semblé être une éternité. Deux ans, exactement, ils vont démarrer sur trois bientôt. Une soirée très simple, où Dora jouait les fêtardes comme à son habitude. On ne s'appelle pas Blackwood pour rien. Ici, à Southmapton, les Blackwood sont respectés, connus et populaires. Qui ne connaissait pas Anthenodora Castiel Blackwood? Lui. Nouveau en ville, il a jeté son dévolu sur elle. C'était assez bizarre en fin de compte. Tout le monde lui disait : c'est pas toi qui mettra Blackwood dans ton lit, c'est elle qui le fera. Il l'a dragué, et, pendant un an, ils ont joué au chat et à la souris. Drea dans le rôle du chat, et Dora, dans le rôle de la souris qui nargue le chat, qui n'hésite pas à aller le défier. Elle lui foutait des râteaux, parfois l'allumait pour le laisser en plan quelques minutes plus tard. Finalement, ils se sont liés d'amitié ; plus question de sexe, ils s'adoraient. Littéralement. Ils tenaient l'un à l'autre si fort, que s'en était un truc du ouf. Ils trainaient sans arrêt ensemble. À dire vrai, ils ont nombre d'amis en commun. Parmi la liste ne font pas partie Max et Caleb, les meilleurs amis de Dora. Mais pour Lena, sa meilleure amie, c'était dans la poche, celle-ci adore aussi Drea et c'est réciproque. Il vivait quasiment chez elle (faisait un peu comme Max, d'ailleurs), passait du temps avec elle, essayait de la rendre heureuse du mieux qu'il pouvait, passait des nuits blanches pour pouvoir lui tenir compagnie durant ses insomnies, la laissait dormir dans ses bras lorsque le sommeil la gagnait enfin pour s'endormir à son tour quelques minutes plus tard. L'étouffait un peu trop, étant un peu collant et lourd parfois.
Au début, ce n'était qu'une machination pour essayer d'aller droit au but avec elle, mais il s'est rapidement rendu compte que ce n'était pas une solution et prendre soin d'elle était devenu un réflexe. Elle savait tout de lui, mais lui savait qu'elle lui cachait ses années noires. Août 2010. Ils semblaient se rapprocher de plus en plus chaque jour et là, PAN! Dallas Ezeckiel Beckenridge, premier (et jusque là unique) amour de Dora + cousin de Caleb, qui avait dû quitté Southampton des années en arrière sans prévenir quiconque, revient. Dora se fait distante de tous, perdue, totalement paumée. Drea était un de ses repères, il en n'en avait pas réellement conscience à l'époque. Lui et Zeck? Rivalité assurée. Et c'est là que les emmerdes dans la famille Blackwood ont commencées. Drea s'était assez bien intégré à la famille de la brunette, étant aux yeux de la famille riche "une chance pour Dora d'oublier Beckenridge". Même si Dora n'en avait jamais rien voulu savoir. Il savait que ça se tendait, et que ça allait se briser. Il ne sait pas exactement ce qu'il s'est passé, il sait juste que Dora s'en ai prit plein la gueule, et qu'elle en a beaucoup souffert. Il la soutenait. Et, il y a cinq mois, elle s'est faite distante. Très lointaine. Pas seulement envers lui, mais envers le monde entier. Elle n'était pas bien ; sa vie semblait avoir implosé. Drea la retrouve au bord du gouffre dans son appartement, et, ne sachant que faire, l'embrasse. Elle ne l'a pas repoussé, mais n'a pas approfondis le baiser non plus. Elle s'est juste mise à pleurer toutes les larmes de son corps. Et le lendemain, plus rien. Elle était partie. C'est seulement quand on a perdu quelqu'un qu'on aime qu'on se rend réellement compte à quel point on tient à lui. Il s'est rendu compte que tout ça, c'était pas du vent. Qu'il l'aimait, c'était impossible, il s'était prit dans son propre piège. Et, la semaine dernière, elle est revenue. Un peu plus sage, posée, mature, responsable. Mais en pleine forme, et il s'est surprit à être encore plus heureux du changement. À côté d'elle, il ose enfin laisser de côté son apparence de badboy, bourreau des cœurs. Juste parce qu'elle a chamboulé sien. Elle est souriante, et son sourire le rend dingue. Il faudrait juste mettre cette relation au clair.

(anecdotes à venir plus tard)